Le blog de TinDick'sCuckold
La suite du weekend fut l'occasion de voir où j'en étais , et apporta quelques réponses à certaines de mes questions ...J'ai passé
de nouveau pas mal de temps dans la cage étroite et basse ... ( ça me fait drôle de la qualifier ainsi car quelques jours plus tard , une autre cage encore moins longue ( un mètre
trente cinq !) et légèrement plus basse ( soixante cinq centimètres ) à été rajoutée , plaquée contre la première ... Elles peuvent être fixée l'une à l'autre , et les grilles du côté commun
pouvant être soulevées cela donne une seule cage alors , mais j'imagine que le but n'est pas de proposer plus d'espace au reclus du moment , mais certainement d'enfermer deux soumis en même
temps , en les plaçant dans des conditions de promiscuité désagréables...
C'est du moins ce à quoi j'ai pensé rapidement en voyant la deuxième cage ... et c'est la réflexion comme les informations sur ma condition et mon état qui m'ont conduit dans cette direction ...
Pendant mon enfermement suite à la séance de tatouage , j'ai pu utilement repenser à tout ça :
-ma condition ? servile ! indéniablement , sans hésitation possible ... Les quatre Maîtresses le confirmèrent
lors de l'entretien qu'elles eurent avec nous ( Odile, Boris et moi ) le lendemain des opérations tatouage, tonte, piercing... rappelant, - Madeline et Larissa semblaient y tenir et elles insistèrent ! -
" que c'était déjà ma condition de mari ET QU' (ELLES M'AVAIENT ) CONVOQUé AU NOM DE CETTE CONDITION , PAS POUR L'ADOUCIR ! Charlise , toujours "angélique " d'apparence , comme dans sa toute fin d'adolescence ajouta , au cas où j'aurais encore des doutes :
- " Des soumis c'est pas ça qui manque et on en aura au moins deux ici mais dans à une telle maison où l'on sera sans doute souvent , on a toutes ressenti le besoin d' attacher un esclave à demeure ...
Et pour plusieurs raisons , dont ton expérience n'est pas la moindre, nous avons pensé que tu pourrais faire l'affaire ... Il te faudra encore et toujours agir en esclave et tu n'auras à compter sur l'indulgence ou la complaisance d'aucune de nous car NOUS TE POSSEDONS EN CO-PROPRIETE ... Madeline ajoutera alors, vingt quatre heures après le tatouage :
- " Pour tes activités domestiques tu recevras tes ordres d' Odile notre soumise que tu connais , on la conserve, comme elle le souhaitait, pour différentes raisons spécifiques , mais aussi parce qu'on a remarqué qu'elle ne te ménageait pas particulièrement ( Charlise pouffa en regardant la soumise qui lui sourit , elle échangèrent un regard complice )... tu sauras donc à quoi t'en tenir , en son absence c'est Boris qui aura autorité sur toi .... " Larissa précisa , coupant la parole de mon ex parente :
-" Boris est, à l'origine le soumis sexuel de Luna , et restera sa propriété, mais elle accepte volontiers qu'on utilise ses aptitudes remarquables dans ce domaine !! à ce titre il sera exempt de toute fonction domestique triviale ... ménage , lessive , vaisselle , repassage etc... n'étant utilisé que comme chauffeur ... pour le reste il ne se consacrera qu'à notre service intime incluant la toilette ... lorsque nous t'utiliserons intimement comme esclave , c'est donc à lui , après nous même , que tu devras obéir ...
Voilà des choses entendues , énoncées , confirmées , précisées au lendemain de mon marquage , mais encore une fois ma réflexion solitaire menée en toute humilité dans l'étroitesse désolante de la cage , ne m'avait pas laissé entrevoir autre chose ... Cet " entretien " , dans sa forme, marqua déjà parfaitement nos "états respectifs " ...
C'est Odile qui vint me chercher peu avant la mi-journée ... j'étais en train de finir les vitres des chambres du haut , côté sud , et comme j'avais transpiré ... après m' avoir , comme chaque fois, examiné en me faisant écarter au maximum les jambes et en séparant elle- même mes cuisses et mes fesses ... elle décida en fronçant le nez de me passer au jet , dans la buanderie du sous sol,... Après m'avoir séché énergiquement avec une grosses serviette rêche, elle sortit la clé de ma CB du soutien gorge du haut de corset et m'ôta l'instrument !! Heureusement qu'elle ne l'avait pas fait avant de me frotter l'entre-jambes ... je crois que j'aurais éjaculé tant j'étais sous pression .... elle portait un joli petit corset qui lui donnait une taille d'enfer , des bas , jaretelles porte-jaretelles et escarpins noirs à talons tyrès hauts ... elle sentait bon le parfum " Opium "... Elle m'avait prévenu qu'avant d'entrer dans la pièce je devrais tomber sur mes genoux et marcher vers chacune de mes Maitresses pour les saluer ( je ne les avais pas vues ... c'est elle et Boris qui encore une fois s'étaient chargé des petits déjeuners , m'ôtant ainsi un de mes grands bonheur d'esclave ) ... Je fis ce qui était exigé de moi , me dandinant sur les genoux vers chacune pour les saluer individuellement ... elles étaient dans le grand canapé de cuir fauve , les unes à côté des autres ( Boris lui était totalement nu , mais debout entre Luna et Larissa ) ... C'est ma Chère Charlise qui fus la première devant moi ... j'ai dû dire " Bonjour Maitresse " elle a rectifié sèchement :
" Bonjour Mademoiselle ....( j'ai répété après elle ) ... ouvre en grand ta bouche " .. j'ai obéi ... elle a rassemblé de la salive entre ses belles lèvres fermées et les a entrouvertes pour laisser passer le filet liquide dans ma bouche ... je n'ai pas été surpris : Hannah sa mère répondait généralement comme ça et depuis longtemps à mon bonjour ! Les trois autres agirent de la même façon et seule Larissa ne rectifia pas mon " Bonjour Maîtresse " .... Madeline et Luna exigèrent un " Bonjour Madame " et Luna me gifla même pour le " Maîtresse" précisant - ce qui était vrai - qu'elle m'avait déjà demandé de l'appeler Madame ...
Puis Larissa à son tour me gifla : je n'avais pas salué " l'étalon de ces Dames " ! Je me défendis en rappelant que je l'avais vu dans la matinée ... on m'indiqua qu'à l'avenir , dans le dortoir, au réveil , ou ailleurs , je devrais saluer les deux soumis respectueusement , en m'inclinant devant chacun d'eux et en les appelant " Miss " et " Monsieur " - et même ajouta Charlise " en baisant la main d'Odile " .
Les deux soumis écoutèrent debout la communication de nos Maîtresses , là encore le rituel marquait bien les différences ...Charlise demanda à Odile si elle avait quelque chose à signaler me concernant et la soumise indiqua en lui souriant qu'elle m'avait " passé au jet car (je) n'étai'(s) pas très propre , mais que "travaillant depuis tôt ce matin ce n'était pas très choquant ."
Madeline en grimaçant concéda un " soit " peu conciliant , puis ajouta :
-" et quand tu as ôté sa CB ? "
- " Là c'est toujours pareil Madame il a très souvent un mince filet , translucide qui pend comme de la bave ( sourires hautains ou condescendants de ces Dames et demoiselles sous l'information !) c'est pas très ragoutant ...
- " Oui ! on sait ! " admit Madeline en regardant ses amies perplexe ... il faudra bien trouver une solution... Boris lui donnera quand même entre six et dix coups de cravache , à votre
guise pour marquer le coup.
Puis l'information passa ... pour nous trois , mais évidemment surtout pour moi ...
Chaque point abordé marquait parfaitement la différence de traitement ... par exemple à propos du dortoir :
J'étais le seul assuré d'y dormir en permanence (" sauf quand tu seras puni et dans la cage du sous sol" ,ajouta en souriant et me fixant Odile à qui "ON" ne demandait pourtant rien.... " cela va de soi " confirma Larissa ) Les autres se serait au gré de leurs services et prestations sexuelles indiquèrent sous des mots et formes différents les " quatre "
On leur rappela aussi que leur devoir serait de signaler "tout comportement anormal ou critiquable "de ma part " avant que cela ne pose vraiment problème " qu'ils " ne devaient jamais hésiter "
Il fut rappelé qu'à quelques exceptions près je ne devais pas prendre la parole sans y avoir été convié ..., puis on me permit de sortir pour vaquer à mes nombreuses occupations ... les deux autres restant pour des jeux auxquels je n'étais évidemment pas conviés ...et dont ils se tirèrent fort bien si j'en juge par les gémissements , cris , et rires qui illuminèrent l'après midi
C'est du moins ce à quoi j'ai pensé rapidement en voyant la deuxième cage ... et c'est la réflexion comme les informations sur ma condition et mon état qui m'ont conduit dans cette direction ...
Pendant mon enfermement suite à la séance de tatouage , j'ai pu utilement repenser à tout ça :
-ma condition ? servile ! indéniablement , sans hésitation possible ... Les quatre Maîtresses le confirmèrent
lors de l'entretien qu'elles eurent avec nous ( Odile, Boris et moi ) le lendemain des opérations tatouage, tonte, piercing... rappelant, - Madeline et Larissa semblaient y tenir et elles insistèrent ! -
" que c'était déjà ma condition de mari ET QU' (ELLES M'AVAIENT ) CONVOQUé AU NOM DE CETTE CONDITION , PAS POUR L'ADOUCIR ! Charlise , toujours "angélique " d'apparence , comme dans sa toute fin d'adolescence ajouta , au cas où j'aurais encore des doutes :
- " Des soumis c'est pas ça qui manque et on en aura au moins deux ici mais dans à une telle maison où l'on sera sans doute souvent , on a toutes ressenti le besoin d' attacher un esclave à demeure ...
Et pour plusieurs raisons , dont ton expérience n'est pas la moindre, nous avons pensé que tu pourrais faire l'affaire ... Il te faudra encore et toujours agir en esclave et tu n'auras à compter sur l'indulgence ou la complaisance d'aucune de nous car NOUS TE POSSEDONS EN CO-PROPRIETE ... Madeline ajoutera alors, vingt quatre heures après le tatouage :
- " Pour tes activités domestiques tu recevras tes ordres d' Odile notre soumise que tu connais , on la conserve, comme elle le souhaitait, pour différentes raisons spécifiques , mais aussi parce qu'on a remarqué qu'elle ne te ménageait pas particulièrement ( Charlise pouffa en regardant la soumise qui lui sourit , elle échangèrent un regard complice )... tu sauras donc à quoi t'en tenir , en son absence c'est Boris qui aura autorité sur toi .... " Larissa précisa , coupant la parole de mon ex parente :
-" Boris est, à l'origine le soumis sexuel de Luna , et restera sa propriété, mais elle accepte volontiers qu'on utilise ses aptitudes remarquables dans ce domaine !! à ce titre il sera exempt de toute fonction domestique triviale ... ménage , lessive , vaisselle , repassage etc... n'étant utilisé que comme chauffeur ... pour le reste il ne se consacrera qu'à notre service intime incluant la toilette ... lorsque nous t'utiliserons intimement comme esclave , c'est donc à lui , après nous même , que tu devras obéir ...
Voilà des choses entendues , énoncées , confirmées , précisées au lendemain de mon marquage , mais encore une fois ma réflexion solitaire menée en toute humilité dans l'étroitesse désolante de la cage , ne m'avait pas laissé entrevoir autre chose ... Cet " entretien " , dans sa forme, marqua déjà parfaitement nos "états respectifs " ...
C'est Odile qui vint me chercher peu avant la mi-journée ... j'étais en train de finir les vitres des chambres du haut , côté sud , et comme j'avais transpiré ... après m' avoir , comme chaque fois, examiné en me faisant écarter au maximum les jambes et en séparant elle- même mes cuisses et mes fesses ... elle décida en fronçant le nez de me passer au jet , dans la buanderie du sous sol,... Après m'avoir séché énergiquement avec une grosses serviette rêche, elle sortit la clé de ma CB du soutien gorge du haut de corset et m'ôta l'instrument !! Heureusement qu'elle ne l'avait pas fait avant de me frotter l'entre-jambes ... je crois que j'aurais éjaculé tant j'étais sous pression .... elle portait un joli petit corset qui lui donnait une taille d'enfer , des bas , jaretelles porte-jaretelles et escarpins noirs à talons tyrès hauts ... elle sentait bon le parfum " Opium "... Elle m'avait prévenu qu'avant d'entrer dans la pièce je devrais tomber sur mes genoux et marcher vers chacune de mes Maitresses pour les saluer ( je ne les avais pas vues ... c'est elle et Boris qui encore une fois s'étaient chargé des petits déjeuners , m'ôtant ainsi un de mes grands bonheur d'esclave ) ... Je fis ce qui était exigé de moi , me dandinant sur les genoux vers chacune pour les saluer individuellement ... elles étaient dans le grand canapé de cuir fauve , les unes à côté des autres ( Boris lui était totalement nu , mais debout entre Luna et Larissa ) ... C'est ma Chère Charlise qui fus la première devant moi ... j'ai dû dire " Bonjour Maitresse " elle a rectifié sèchement :
" Bonjour Mademoiselle ....( j'ai répété après elle ) ... ouvre en grand ta bouche " .. j'ai obéi ... elle a rassemblé de la salive entre ses belles lèvres fermées et les a entrouvertes pour laisser passer le filet liquide dans ma bouche ... je n'ai pas été surpris : Hannah sa mère répondait généralement comme ça et depuis longtemps à mon bonjour ! Les trois autres agirent de la même façon et seule Larissa ne rectifia pas mon " Bonjour Maîtresse " .... Madeline et Luna exigèrent un " Bonjour Madame " et Luna me gifla même pour le " Maîtresse" précisant - ce qui était vrai - qu'elle m'avait déjà demandé de l'appeler Madame ...
Puis Larissa à son tour me gifla : je n'avais pas salué " l'étalon de ces Dames " ! Je me défendis en rappelant que je l'avais vu dans la matinée ... on m'indiqua qu'à l'avenir , dans le dortoir, au réveil , ou ailleurs , je devrais saluer les deux soumis respectueusement , en m'inclinant devant chacun d'eux et en les appelant " Miss " et " Monsieur " - et même ajouta Charlise " en baisant la main d'Odile " .
Les deux soumis écoutèrent debout la communication de nos Maîtresses , là encore le rituel marquait bien les différences ...Charlise demanda à Odile si elle avait quelque chose à signaler me concernant et la soumise indiqua en lui souriant qu'elle m'avait " passé au jet car (je) n'étai'(s) pas très propre , mais que "travaillant depuis tôt ce matin ce n'était pas très choquant ."
Madeline en grimaçant concéda un " soit " peu conciliant , puis ajouta :
-" et quand tu as ôté sa CB ? "
- " Là c'est toujours pareil Madame il a très souvent un mince filet , translucide qui pend comme de la bave ( sourires hautains ou condescendants de ces Dames et demoiselles sous l'information !) c'est pas très ragoutant ...
- " Oui ! on sait ! " admit Madeline en regardant ses amies perplexe ... il faudra bien trouver une solution... Boris lui donnera quand même entre six et dix coups de cravache , à votre
guise pour marquer le coup.
Puis l'information passa ... pour nous trois , mais évidemment surtout pour moi ...
Chaque point abordé marquait parfaitement la différence de traitement ... par exemple à propos du dortoir :
J'étais le seul assuré d'y dormir en permanence (" sauf quand tu seras puni et dans la cage du sous sol" ,ajouta en souriant et me fixant Odile à qui "ON" ne demandait pourtant rien.... " cela va de soi " confirma Larissa ) Les autres se serait au gré de leurs services et prestations sexuelles indiquèrent sous des mots et formes différents les " quatre "
On leur rappela aussi que leur devoir serait de signaler "tout comportement anormal ou critiquable "de ma part " avant que cela ne pose vraiment problème " qu'ils " ne devaient jamais hésiter "
Il fut rappelé qu'à quelques exceptions près je ne devais pas prendre la parole sans y avoir été convié ..., puis on me permit de sortir pour vaquer à mes nombreuses occupations ... les deux autres restant pour des jeux auxquels je n'étais évidemment pas conviés ...et dont ils se tirèrent fort bien si j'en juge par les gémissements , cris , et rires qui illuminèrent l'après midi
Jeu 25 mar 2010
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