Le blog de TinDick'sCuckold
Où j'en suis après bientôt deux mois de rétention et de totale servitude dans la propriété de mon ex-épouse ? . C'est ce qu'on verra dès demain ....
A partir de demain en effet , je vais tenir UNE SORTE DE JOURNAL, pas nécessairement quotidien, je le dis sur une page spéciale ...mais quelque chose de régulier et suivi . C' est au fond ce que j'ai voulu faire depuis le premier jour et dont la privation immédiate et durable de mon ordi portable,- autoritairement confisqué - m'a écarté ... Lorsque enfin j'en ai récupéré l'usage , j'avais autre chose à faire que de scruter en détail mes états d'âme et les petits soucis quotidiens ( pas tous si petits d'ailleurs ... on le découvre je pense chaque jour un peu plus ...)
Quand j'ai cru enfin pouvoir le faire il y a eu les TATOUAGES !.... ma TONTE , atrocement humiliante et aux effets prolongés , interminables ! ... ( je n'ose toujours pas me regarder dans une glace !! et ma tête ridicule et laide m'a valu le nouveau sobriquet de "kojak" dont Odile use et abuse depuis qu'elle a réalisé qu'il ne me permettait pas d'oublier une seconde l'atteinte physique insupportable )....
Il y a eu encore l'affirmation d'une hiérarchie qui aboutit à ...MA SOUMISSION AUX AUTRES SOUMIS ...
...Et puis -last but not least - tous les effets de mon interminable ENFERMEMENT : Ah oui ! quand même ! ...Quelques mots à ce sujet :
Si vous me lisez depuis le début , avez vous réalisé que CELA FAIT AUJOURD'HUI 52 JOURS que je ne suis pas sorti de la propriété ?!!..... SEPT SEMAINES ET DEMI QUE JE SUIS CLOITRé dans la villa , heureusement fort spacieuse et pas seulement encagé des heures et des heures durant , souvent ( si l'on additionne ces heures je suis à peu près certain qu'on dépasse aujourd'hui les dix jours " d'encagement " !)...
Pas de sorties alors ?
Depuis le sept février , quelques dizaines de mètres autour des murs épais du nid cossu et si peu conformiste, dans le parc qui les borde et moins d'une demi-douzaine de fois , encore faut il préciser que les motifs de ces sorties furent toujours utilitaires ....
Des sorties pour déneiger à la pelle le perron , l'entrée du garage , la grande terrasse plein sud ... et puis encore pour libérer l'allée d'accès à la maison , lutter contre la formation de verglas ...
Des sorties pour débarrasser les entrées de la cabane de jardin et puis aussi la grille de la propriété des congères qui se sont formées à plusieurs reprises au cours de cet hiver froid et neigeux dont février n'aura pas été l'exception ... Cette grille d'entrée, à une centaine de mètres du perron de la maison est donc l'endroit le plus éloigné du home qu'il m'ait été donné d'atteindre, jamais de franchir vraiment, et ce depuis bientôt deux mois ...
AUTRE CHOSE QUI NE DOIT PAS PASSER INAPERCU : ces quelques heures passées à travailler , dans des conditions oh! combien difficiles !... sont les seules heures où j'ai porté des vêtements au cours de ces cinquante jours ... et quels vêtements !!
Une paire de bottes trop grandes, blanches , du caoutchouc, sur un épais collant de laine rose (!), sur le collant un vieux slip de femme , rose également, en coton style "années cinquante" le tout cachant exceptionnellement ma CB , bien omniprésente pourtant , et que je ne risque pas d'oublier !... puis une doudoune grise en guise de pull over et un ciré de marin d'un beau jaune vif s'arrêtant au dessus du genoux ... voilà pour le déneigement du portail et du perron...
J'ajoute que , la dernière fois que j'ai dû le faire, je venais d'être tondu et l'on m'a donc affublé en plus d'un bonnet de laine ...
Oui ! rose !... comment avez vous deviné ? )
Pour la cabane de jardin et le déneigement du portique de jeu qui sont à plus de deux cents mètres de l'enceinte d'entrée, derrière les hauts murs de la maison et de nombreux arbres et donc hors de la vue d'un quidam un peu curieux , plus de ciré !! rien pour cacher mon ridicule collant rose et la culotte rose modèle "king size " !
Quant à la terrasse c'est même sans collant , en slip, en gants et bonnet de laine , que j'ai oeuvré !! et les pieds dans des sabots bourrés de paille...
Cette terrasse je l'ai déneigée à deux reprises , j'étais tout juste une série de taches roses sur un monceau de neige ! Ballet burlesque en rose et blanc : le blanc de ma peau blafarde sur le blanc de la neige ... C'est une terrasse de 70 mètres carrés qui par deux fois a été recouverte d'un manteau neigeux de quarante centimètres d'épaisseur ...Ce n'est pas si simple ... il y faut du temps et de l'ardeur !
Si je n'ai pas trop souffert du froid , la dernière fois sur la terrasse, vêtu de "riens" roses ...c'est peut être parce que Larissa, me voyant arrêté pour reprendre mon souffle quelques secondes s'est fâchée de la chose !
Et cela m'a valu quelque chose de parfaitement inoubliable :
Elle était à la fenêtre de sa chambre je l'ai aperçu en levant le nez une seconde ... Elle était nue , émergeant sans doute de son lit après des l dizaines et des dizaines de minutes agitées et bruyantes ( audibles aussi de l'extérieur) , dans les bras de "son" Richard . C'est lui qui est descendu immédiatement, furibard , nu encore, mais sous son grand manteau de fourrure fauve enfilé à la hâte et non fermé ! ... descendu pour me cravacher , copieusement, le dos !! le torse !!! les fesses et les cuisses!! ...sous un double regard, un double sourire ironique , moqueur :
Celui de la rousse Larissa sous sa crinière flamboyante et emmêlée de fauve après l'amour - levant mon visage grimaçant sous l'effet de la douleur je l'ai vu debout insolemment nue, collée pour mieux voir à la fenêtre de sa chambre, à l'étage -
Puis celui blessant d'Odile , sur le pas de la grande porte-fenêtre ouvrant de la cuisine sur la terrasse . Impuissant j'enrageai davantage, d'être, en plus, livré ainsi en spectacle !!... Richard est un dominateur assez sadique pour prendre intensément son pied en châtiant une victime ... je le sais depuis le premier jour, c'était il y a des années ... Ce jour où dans un club de rencontres Hannah et moi en couple depuis peu, les avions rencontré Larissa et lui ...c'est ce qui, malgré la douleur atroce des coups sur la peau froide , m'a dissuadé de me jeter à genoux dans la neige pour implorer sa pitié ... je savais que ça l'exciterait davantage ... j'ai cru être récompensé de ma retenue quand enfin il s'est arrêté ...Hélas !!.. la fenêtre à l'étage s'est ouverte, juste un instant, pour ne pas laisser trop d'air froid entrer dans la chambre d'amour et j'ai entendu la sentence de ma Maîtresse nue :
- " Corrige le bien Rick ...Encore !! Odile qui m'a prévenue, prétend qu'il aurait pu déblayer cette neige deux fois plus vite , ce qu'a fait parait il Boris l'autre jour mais évidemment, j'imagine ! sans faire des pauses toutes les trente secondes ...Après tu remontes ! je nous prépare moi-même un bon bain aux huiles essentielles et Boris viendra nous masser ... Odile va le prévenir ! "
J'étais effondré , à tous les sens du terme !!!
Je me suis affalé dans la neige les mains jointes, et cette fois, sans calcul, en implorant pitié ! Ainsi Larissa n'avait pas regardé par la fenêtre par hasard : Odile aurait auparavant souligné ma lenteur , insinuant que j'y mettais de la mauvaise volonté !... comparant même , FAUSSEMENT, de manière ignoble avec ce qu'aurait fait son ex mari quelques jours plus tôt !!! ...alors qu'il n'a jamais pris une pelle dans cette période , alors que c'est toujours à moi que la soumise a ordonné ces travaux ( faut il rappeller que je suis directement sous ses ordres !)...
Richard continua à me frapper à terre , ou plutôt , hélas , dans la neige brûlante !!... son manteau épais n'était pas fermé et au gré de l'ampleur de ses mouvements je voyais sa grosse et longue verge nue, que la situation ne laissait assurément pas indifférente, maintenir d'abord un respectable volume , puis se dresser progressivement ...
La garce à laquelle je devais ce cruel épisode était toujours là, très près, dans l'encoignure de la porte-fenêtre , jeans enfoncé dans des cuissardes à talons , torse nu sous son douillet anorak de ski qui montrait largement ses gros seins entre les bordures en V de la fermeture éclair peu fermée... Elle était comme toujours friande du spectacle qu'elle avait provoqué par son mensonge éhonté ... Son regard pervers me lâcha juste une seconde pour héler Boris qui passait sans doute dans la cuisine ... il s'approcha d'elle mais sans oser la prendre par l'épaule comme il l'aurait sans doute fait si le Maître n'avait pas eu la possibilité de les voir ..
.Richard , lui aussi considérait la soumise comme lui appartenant et ne supportait pas la complicité, l'entente , l'alliance entre les deux soumis , dont il n'oubliait pas qu'ils avaient été marié . Richard , si fier de sa grosse et longue verge , ne voyait pas d'un très bon oeil le fait qu'un soumis soit si bien pourvu par la nature sur ce plan ... cela aurait même pu déboucher sur le renvoi du russe si bien sûr Luna , la belle black n'avait fait le nécessaire pour conserver son amant soumis ... avec la complicité active de Larissa qui appréciait chaque jour davantage les capacités sexuelles exceptionnelles de l'ex d'Odile ... - On me suit ? -
Boris dit quand même quelque chose à l'oreille de la salope qui m'avait repris dans son regard et buvait ma souffrance et le bon mot sans doute à mon propos de son ex la fit rire ... puis je crus deviner qu'elle lui disait qu'il aurait à masser nos deux Maîtres présents ce jour là et il monta rapidement ...
Quand le compagnon de Larissa jugea que j'avais mon compte, celle-ci avait quitté depuis peu son poste d'observation derrière la fenêtre de la chambre , évidemment refermée... et mon bourreau jeta négligemment sa cravache dans la neige .
- " Ode ! fais rentrer l'esclave et après l'avoir passé au jet , au sous sol, enferme le dans la plus petite des cages ... je veux qu'il se souvienne de cette punition et je te remercie de le contrôler aussi bien et d'avoir prévenu Lari ... Tu fais un travail remarquable , j'en suis conscient ...J'imagine que ça te prends beaucoup de temps, mais en partie grâce à toi je pense qu'on arrivera à en tirer quelque chose ... il ne faut pas relâcher tes efforts petite ! "...
Ode c'était Odile bien sûr. Il lui caressa la joue et elle rosit d'aise ... elle venait de m'oublier ... un instant ... Elle dit avec une voix de velours et en lui lançant un regard énamouré :
-" Merci Maître ! oui ! Vous avez raison! vous savez que vous pouvez compter sur moi ! même si c'est difficile car cet esclave est fourbe , dissimulateur , menteur ... vous n'avez pas idée ! Mais le fait que vous remarquiez mon bon travail et ma fidèlité est un puissant encouragement et je vous en remercie vraiment ! " .........
L'Homme continua, conscient de l'effet qu'il produisait sur la vicieuse . ! Au hasard d'un nouveau pas j'entrevis son sexe dans l'ouverture élargie du manteau : Il était complètement bandé , énorme , turgescent !!! ...
- "Tu me préviendra personnellement s'il fait des difficultés ou s'il t'ennuie n'est ce pas? " Il passa sa main dans les cheveux de la soumise , cette fois en la fixant bien et elle devint écarlate , balbutiante ... il continua , pas vraiment décidé à lui donner une chance de se ressaisir :
..." tiens ce soir je t'emmène au restaurant avec Lari ...Tu l'as bien mérité ...tu mettras ta belle mini-robe bleue très moulante , qui te va si bien... Tu vois laquelle ? ... Tu confieras le contrôle de l'esclave en notre absence au soumis.."
-" Je le sors de la cage avant de partir, alors ? "
- Oh oui ! bien sûr, bien avant ! il a surement du travail !! ...en début d'après midi peut être, il ne faudrait pas qu'il profite d'une juste punition pour ne rien faire ! ... Enfin c'est toi qui vois ! Je te fais confiance ...je veux qu'il te respecte et même qu'il tremble devant toi... N'hésite pas à le corriger toi même et préviens moi s'il a , ne serait ce qu'un geste , une velleité de rébellion alors ! je le lui ferai regretter , crois moi !!... c'est comme ça, vois tu , qu'on en fera vraiment ce qu'on voudra .... " il déposa un baiser furtif, sur ses lèvres cette fois , et elle faillit tomber en pamoison ....puis il sortit non sans avoir de nouveau exhibé sa virilité triomphante, bien involontairement ( vous croyez ?! )... en tournant un peu vite ...
Odile m'a entrainé au sous sol, après m'avoir dit, son beau visage de salope absolue totalement illuminé ...
-" Tu as entendu le Maître? je n'hésiterai pas à faire ce qu'il propose tu sais ... T'as pas intérêt à la ramener !... Tu n'as pas beaucoup d'alliés dans cette maison ... Hahahah ! "
Puis elle m'a lavé au jet , fait tenir tant bien que mal dans la plus petite des cages ... Chaque fois qu'elle avait l'impression que j'allais finir par parler ( et c'est vrai que j'ai plusieurs fois été tenté de rompre ce silence obligatoire pour moi en dehors de certaines heures , on le sait ) elle mettait son doigt devant sa bouche pour m'intimer l'ordre de me taire et je me résignai , la mort dans l'âme , par peur de subir encore davantage ......
Il lui avait dit " c'est toi qui vois " et elle en profita pour me montrer une fois de plus que je n'avais rien de facile, aucune faveur , aucun laxisme, aucune bonté à attendre d'elle: Je ne sortis que tard dans l'après midi et le soir , après avoir vérifié l'état d'avancement des corvées domestiques , elle me confia sans consignes particulières à son ex ....qui lui se fit sucer pendant plus d'une heure , dans notre dortoir , affalé dans un fauteuil , devant une K7 porno...
Puis il me renvoya une bonne heure au tâches ménagères avant de m'ordonner de me coucher , non sans avoir encore une fois exigé d'être pompé avec en conclusion cette fois une copieuse éjaculation faciale !
Lorsque obéissant , je suis allé me coucher avec la difficulté que vous imaginez pour glisser mon épiderme meurtri , sous les draps rêches de ma couchette , la grosse voiture de Richard rentrait dans le parc et j'ai entendu des rires, parmi lesquelles ceux un peu triviaux d'Odile... longtemps avant de m'endormir ... bien sûr Odile n'est pas venue dormir au dortoir cette nuit là !! Larissa et Richard avaient de toute évidence mieux à lui proposer .... Cela suffit à mettre le russe de fort méchante humeur au réveil ...