Lundi 15 mars
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Ainsi après presque deux semaines de présence chez mon ex Femme j'ai revu , pour la première fois, réunies celles PAR lesquelles et
POUR lesquelles je suis revenu ici ...et je réalise, étant enfin sur le point de parler de cette fin de semaine décisive , que j'ai toujours cette vingtaine de jours à rattraper
pour faire de ce blog une sorte de journal au quotidien, retraçant à chaud ce que je vis maintenant de plus important , puisque tel est mon but ...
Oui ! c'était il y a trois semaines déjà ! - trois semaines consécutives à cette longue période d'enfermement , sous différentes formes , et pendant laquelle ON m'a privé de l'essentiel dans
cet univers de servitude acceptée , assumée , oui ! l'essentiel : ce clavier d'ordinateur qui me maintien en contact avec l'autre monde ...
J'eus confirmation dès le matin du caractère exceptionnel des heures à venir ... Luna avait demandé la veille , que , dès son réveil , " vers neuf heures" avait elle ajouté ( donc très tôt
pour elle !) le petit déjeuner lui soit servi au salon , et non dans sa chambre ET PAR ODILE... visiblement on me destinait à autre chose ce matin là...
- " un petit déjeuner pour trois " avait souligné Luna en nommant Madeline et Larissa .
Ces deux Maîtresses tant attendues ( par moi au moins !) arrivèrent en effet dans la nuit . Nous le sûmes à l'excitation extérieure perceptible du " dortoir " sous le
coup de trois heures du matin, puis à l'agitation , aux voix et aux rires qui se faisaient encore entendre près d'une heure plus tard dans l'escalier et le
long couloir menant aux différentes chambres ...
La veille j'avais préparé quatre nouvelles chambres dont celle de Charlise , mon ex belle-fille, et fait autant de lits .. ( Pour elle j'avais même réussi à placer discrètement sur sa
table de nuit une boite de pâtes de fruits , friandise qu'elle aimait tant adolescente ) .
Enfin avant notre coucher Boris ( qui passa toute la nuit au dortoir , pour une fois ! ) avait reçu l'ordre de rentrer au garage les voitures des nouvelles arrivantes, dès son lever
... ( Le garage n'est en effet pas très spacieux et y faire rentrer et tenir quatre voitures demande une certaine habileté , or , si en temps ordinaire le stationnement couvert n'est
ici pas très couru , en cette période de chutes de neige abondantes et exceptionnelles - pour une fin de mois de février! - peut justifier une telle préoccupation de la part des
propriétaires de beaux véhicules ...
C'est Odile qui surveilla ma douche après m'avoir réveillé et pendant que nos Maîtresses déjeunaient .
La nuit avait été calme dans le dortoir ... Je portais toujours ma CB bien sûr , mais Odile s'était trouvé, elle aussi , "sévèrement appareillée " puisque son entre-fesses
sillonné par une épaisse courroie de cuir était tout aussi inaccessible que son juteux minou ... Boris , le seul des trois occupants du dortoir à disposer librement de son sexe n'avait donc
aucune chance de mettre en émoi son ex femme en passant par là .... Il se contenta d'une fellation de ma part au coucher , et exigea le même service d'Odile le matin au réveil ...
Bien sûr , il éjacula dans nos bouches à chaque fois et elle et moi fûmes soumis à la même dégustation ...
J'entendais , pendant qu'Odile me savonnait avec soin , les éclats de voix de nos Maîtresses et mon coeur se mit à battre plus fort quand je reconnus le timbre caractéristique de mon ex
belle-fille : Charlise ... Elle aussi était enfin arrivée !! J'espérais qu'elle apprécierait mon attention discrète et... qu'elle se douterait qu'elle venait de moi .
Après cette longue et insistante douche je fus conduis dans une des rares chambres encore non attribuée et fus entravé , essentiellement par la fixation de mes chevilles et de mes
mollets sur les montants surélevés, pas totalement parallèles, d'un fauteuil assez semblable à ceux des gynécologues ...
Ainsi presque allongé sur le dos , dans ce fauteuil très inclinable , avec les cuisses ouvertes et les jambes surélevées ... un seul mot me venait pour caractériser
l'image que j'offrais : OBSCENE !
Puis l'ex épouse du russe entreprit de ME DEBARRASSER de ma CB 2000 dont - oh surprise !- elle avait la clé ! après , elle sembla compatir confrontée à l'aspect rabougri
de mon pauvre organe et ébaucha une caresse le long de ma verge et sur mon gland dénudé ( je suis circoncis depuis ma petite enfance pour raison et par décision
médicale )
Terrible initiative de sa part sur un sexe qui aurait volontiers , dans une situation moins tendue - si je puis dire -quémandé des caresses jusqu'au plaisir , trop longtemps
étouffé ....
Au lieu de cela j'ai dû, au contraire la supplier , la mine sans doute terrorisée , car elle rit beaucoup de mes simagrées .... Elle a malgré tout, joueuse et mutine ,
encore fait mine de prendre ma tige gonflée entre deux de ses doigts ...Je ne bandais pas totalement malgré mon désir inouï ... mais je savais que je ne
pourrais résister à un ou deux mouvements ciblés et répétitifs de sa main , si tel était son caprice ... Heureusement elle n'alla pas plus loin ... et s'éloigna hilare ...
Je peux vous dire qu'éjaculer à ce moment et en de telles circonstances m'aurait coûté fort cher !!
Au moment ou Odile s'apprêtait à sortir de la pièce , me laissant là , seul dans cette atroce posture , je n'ai pu m'empêcher de lui demander combien de temps j'allais rester ainsi ,
aussi peu avantageux , et pourquoi ...
Elle sourit railleuse et lança :
- " Tu veux une claque ? toujours cette manie de poser des questions inutiles !... Ne t'inquiète pas va ... on
risque pas de t'oublier Ahahah ! ....
Ensuite ma solitude sembla durer une éternité ... la honte à la pensée du spectacle que j'offrirais à qui entrerait dans cette pièce y était aussi pour beaucoup... Plusieurs fois
des voix passèrent tout près de la porte qu'Odile avait par bonheur fermée ... Charlise , Luna par deux fois , Larissa accompagnée d'un homme dont la voix ne me disait rien ...
Puis c'est Vanessa qui entra avec Madeline ... Mon ex belle-soeur arborait une robe bleue très courte et moulante , du stretch ! ( Elle si sobre et classique dans sa façon de s'habiller
naguère semblait maintenant donner dans le sexy agressif et ça lui allait pas mal ! ) Elle sourit , ironique, en me découvrant , mais m'épargna tout commentaire , se
contentant de rappeler à la belle esthéticienne que mon épilation devait être impeccable ...
C'est ce que s'appliqua à réaliser la professionnelle , non sans se moquer de moi et de mon pauvre sexe vulnérable, elle qui m'avait épilé souvent dans le passé , sur
ordre de mon épouse , savait à quoi s'en tenir sur l'état de ma verge , elle constata d'ailleurs " que (je) bandais " là où une autre , moins avertie n'aurait observé au mieux
qu'un début d'émoi ...
Après le travail de Vanessa , mon attente solitaire reprit ... Je savais que la phase suivante serait celle du
tatouage ...
Mais quel(s) tatouage(s) ? ... où ?.. et qui en avait ou allait en décider ? Tout cela , si longtemps attendu , redouté , espéré... allait devenir réalité et j'étais tenaillé par la
honte , la crainte ... et le trouble désir de voir mes Maîtresses enfin autour de moi , même si la posture dans laquelle je me trouvais depuis qu'Odile s'y était employée me taraudait grandement
...
Attendre ... encore attendre !! il n'y avait plus que ça .
Par TinDick'sCuckold
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