La Soumise ne s'est pas éternisée sur la terrasse , au soleil quand la clé de ma CB lui fut confiée ... je l'ai vu monter à l'étage .
Une délicieuse pellicule de sueur formant perles par endroits scintillait sur sa belle peau d'un blanc, insolent ..... indécent !
Opium , le parfum, ne s'imposait plus dans son sillage : elle avait eu trop chaud dehors et "l'écran total " auquel elle avait recours pour protéger sa peau précieuse et fragile avait en effet fait écran ! ... Olfactivement aussi .
Maintenant elle sentait fortement la transpiration , les poils qu'elle conservait sous les bras - parce que Charlise refusait qu'elle les ôte - accentuaient certainement le phénomène , mais par ailleurs la belle aux opulentes rondeurs obsédantes , transpirait abondamment et facilement , sous leffet de la chaleur . Nous n'en étions qu'aux premiers assauts saisonniers de l'astre diurne mais c'était évident !...
Une transpiration " propre " , je veux dire par là qu'elle s'était consciencieusement douchée ce matin ou dans les heures toutes proches . Lorsque sa chérie était là elle ne prenait jamais cette facilité si courante en semaine : rester quarante huit heures ou plus sans faire la plus petite ablution et sans rafraichir son intimité ...
Négligée par parresse , elle se contentait alors de ma langue sur ses trésors et temples d'amour , mais elle l'utilisait facilement deux à trois fois par jour ... et je ne compte pas là les coups de langue répétés sur sa minette grasse et velue après chaque " pissou "
- c'est son expression - Madame supportant mal, parait il, le" manque de douceur " du PQ sur ses dépressions et reliefs délicats ...
J'ignorais où elle allait , je fus assez vite renseigné ... elle était rentrée mettre la précieuse clé à l'abri... Quand ce fut chose faite , de la terrasse du bas , côté sud on vit, tendue vers l'avant dans le cadre d'une fenêtre de l'étage sa débordante poitrine ... elle questionna Charlise :
- "Amour ! tu permet que je fasse monter " cent sept " quelques minutes ?
Charlise donna son accord sans complication et même en pouffant et je dus rejoindre la Soumise sans tarder dans son box du dortoir ...
Elle était nue , sur le ventre , au milieu de son lit tellement plus confortable que les couchettes d'à côté ... J'adorais voir ses larges fesses blanches dans cette position qui les rendait encore plus imposantes ... Vraiment ! je ne m'en lassais pas !
- " J'espère que ton entre-jambes n'est pas aussi douloureux que tu le prétends parfois car j'ai besoin que ta langue rafraichise ma raie et ma rosette " . Ce disant elle écarta ses globes si charnus, exposant le crin rougeoyant tout aussi non-rasable que par devant( par le seul " bon-plaisir "de son amante ) ... Le cratère anal n'était pas encore vraiment refermé et je sus qu'elle venait de "déposer sa pêche" autre expression qu'elle aimait à répéter , comme "pissou", chaque fois que l'occasion se présentait ... là elle ne l'utilisa pas , mais il n'y avait aucun doute :
Comme après une sodomie sa "bague" anale mettait quelques minutes à se resserrer , à se fermer vraiment , après soulagement .
Si vous me permettez ce " détail " les étrons d'Odile présentaient en temps
" normal " un gros diamètre expliquant la dilatation , mais solides et très bien moulés ils laissaient des traces matérielles le plus souvent insignifiantes , même en dépit des poils souvent piégeux à cet égard ... La toiletter en cette circonstance , comme elle l'exigeait maintenant presque chaque jour , était donc peu éprouvant ... ce qui n'était pas la règle générale !!
Pour qu'on comprenne bien sa phrase j'ajouterai qu'elle était, bien sûr parfaitement consciente de l'effet produit sur moi par son corps ( qui me tentait en permanence , sans jamais " s'offrir " , évidemment ) . Elle savait combien le fait de m'en approcher , de le sentir , de le toucher, de le lècher exacerbait vainement ma libido, faisant de moi ce que les anglo-saxons appellent une " bite bleue " : quelqu'un qui ne pouvant bander ( maudite CB ! ) ni éjaculer a le sexe de plus en plus engorgé et congestionné ... donc bleu ou violet ...
Dissuadé de bander , entravé dans ce " mouvement" pourtant si naturel et tellement flatté ici par une volonté de " teasing " permanent des Femmes de l'endroit ... on ne pouvait mesurer mes tentations, mes émotions , mes pulsions à mes aptitudes érectiles ...
D'ou l'observation souvent amusée des tons de mon entre-cuisses par ces Dames .
Odile savait elle aussi que mon appareil génital virant aux tons sombres , pourpres et davantage encore était un excellent révélateur de mon état général d'excitation
Elle n'aimait rien tant , par rapport à moi que cette façon de minimiser mon tourment , ma congestion sexuelle ... et ce jour là , bien sûr le fait de détenir la clé lui offrait une sorte de raffinement supplémentaire ...
A plat ventre , moi aussi , entre ses cuisses ouvertes, la langue durcie , cherchant à vriller son anus qui se refermait si doucement , j'ai cru un moment que les secousses et le frottement de ma cage sur le matelas allaient suffire à déclencher une éjaculation ... Cela aurait sans doute eu des conséquences terribles ! ... Je me suis concentré sur l'odeur entêtante et la saveur légèrement amère rencontrées ... et mon savoir-faire a déclenché assez rapidement dans son corps convulsé des vagues répétitives de plaisir que j'aime à provoquer ainsi comme lorsqu' elle m'impose un long face-sitting ...
Après quoi elle a exigé que je la masse avant de redescendre .
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