tindick-scuckold

 Je pensais être au bout de mes peines   lorsque la belle eurasienne au visage impassible remisa  son matériel,  mais il n'en était rien ! ... Pourtant je fus détaché , ôté du fauteuil médical,  je dus m'asseoir  sur la chaise la plus proche , face au fauteuil sur lequel Boris  fut installé à son tour  ...
Mais lui ne fut pas attaché ! lui ne fut pas scruté par des regards insoutenables, interminablement !
Pourtant l'homme introduit ici par  Larissa  lui perça  le gland  ( sous anesthésie locale  mais intense  )  afin d'y insérer un large  anneau  d'or .   Ensuite   un second anneau, un peu moins large   fut posé  ,  au beau milieu du périnée... et si ces deux petites interventions suscitèrent l'intérêt de l'assistance ... il n'y eut rien de comparable avec l'intensité de ce que mes tatouages amenèrent ... Le cercle se fit juste un peu plus étroit, un peu plus dense autour  de l' "étalon" lorsque le " pierceur " relia  les deux anneaux par une chainette aux maillons épais  et un petit cadenas  vint aussitôt couronner son travail ...  et tout le monde comprit :
Cadenassé le sexe du soumis  avait le gland qui pointait piteusement vers le bas et  Boris se trouvait dans l'impossibilité de bander  . Excité   il commencerait à bander ,  sûrement, surtout lui que son ex Femme , Odile avait baptisé " toujours prêt " !!
...Mais la chaine se tendrait  alors  mécaniquement  et pour rien,  tirant sur  le gland , déformant le périnée     ...
Les spectatrices  comprirent assez  vite  l'intérêt  de cette entrave ... moi je n'avais pas besoin d'un dessin ! je  connaissais depuis longtemps l' appareillage ... et une fois de plus il me rendit envieux  du soumis de Luna ...
J'avais sollicité,  j'avais plaidé même , jadis ...Oui , j'avais voulu discuter ,  autant que mon épouse me  permettait parfois  de  faire ce qu'elle considérait généralement comme  de la contestation " pour le plaisir de (m) opposer , de pinailler sans raison " ...  j'avais  " quémandé "  dans le passé   le remplacement  de ma CB par un tel système empêchant  la pénétration , et qui aurait pu m'éviter la gêne lancinante  et l'inconfort inhérent  à la " Chastity Belt "... mais sans succès  et cela pour plusieurs raisons invoquées  par ma Femme .... Plusieurs raisons que voilà :
- Hannah ne refusait pas seulement  que je pénètre une Femme , ELLE... et bien sûr, à plus forte raison   une autre ... Elle ME REFUSAIT L'ORGASME A MA GUISE ... , LA SIMPLE MASTURBATION... et l'on comprendra rapidement que les CB présentaient sur ce plan toutes les garanties  que ne pouvait offrir ce PIERCING AVEC INTENTIONS ... Dès lors que lui importait  l'inconfort permanent  engendré par la CB et la douleur même parfois ?... C'est ainsi qu'elle se garda bien de céder  à ce qu'elle se contenta d'appeler    " un caprice "  ...
- le coût de  l'opération : il faut savoir qu'une CB coûte entre 100 et 300 euros  maxi , selon le modèle adopté  ( le modèle " 2000 " celui que mon Ex  a choisi à l'époque  est le moins cher , mais là je dois dire que ce n'est pas la raison de son choix ...il se trouve simplement que la " 2000" , avec  son " architecture " , sa forme  " cage "  permet le maintien  du harnachement sur de longues périodes sans devoir nécessairement ôter l'appareil  et sans nuire à l'hygiène ... pour ce qui est de l'intervention que représente un piercing  on passe vite  TRES au-dessus de la plus onéreuse des CB et bien sur , si les anneaux , et la chaine qui servira a les relier sont en or ... !!...
- La CB empêche, je l'ai déjà dit plusieurs fois , non seulement le coït  , la pénétration, mais aussi la masturbation,  et toute ébauche de contact du genre " caresses "  destinées au  membre viril...
Voilà  pourquoi le traitement subi par le soumis  russe  de la black m'est apparu une fois encore comme un traitement de faveur  et m'a rendu plus envieux que jamais  ... et pas seulement parce que lui , Boris , ne fut à aucun moment attaché , entravé ...

Mais j'allais avoir rapidement d'autres raisons  de trouver qu'il y avait deux poids deux mesures .
 Si dans un premier temps je suis resté , en apparence libre de mes mouvements  au moment  des piercing subis par Boris , cela ne constitua qu'une brève et fausse impression...je me souviens avoir tenté de soulever mon fessier de la chaise sur laquelle m'avait "posé " Odile sans un mot ; c'est Madeline qui appuya sur mes épaules aussitôt , commentant d'un laconique autant qu'inquiétant :
- " Pour toi c'est pas fini ... reste donc tranquille ! "
C'est vrai que la phrase m'a inquiété , mais je n'ai pas eu longtemps à attendre pour réaliser que mon inquiétude  était on ne peut plus fondée...

Avant que j'aie pu esquisser un geste de défense , le pierceur  ( il s'appelle  Nelson ) , sur un clignement d'oeil de  Larissa que je n'ai " intercepté " qu'au tout dernier moment me maintins assis  sur la chaise pendant  qu'Odile arrivait avec  des liens et des menottes ... La soumise passa une partie de son matériel à Madeline  qui entreprit , elle aussi de fixer mes chevilles  à la jonction du pied de chaise  et de la barre centrale  perpendiculaire aux pieds ... Odile le fit encore  plus rapidement de son côté  ... mes  raidissements  et soubressauts furent dérisoires . 
J'ai murmuré , protesté ... je ne comprenais pas bien , pourquoi le cauchemar recommençait , s'aggravait même...
Luna  et Odile  rentrèrent, sans plus s'affoler que ça de mon agitation stérile , mes poignets levés et mon cou dans les trois échancrures  plus ou moins larges  de la très lourde pièce de bois qui n'était  rien d'autre qu'un énorme  joug très épais !!!   puis je vis que Nelson qui n'était plus obligé de peser de tout son poids sur mes épaules allait chercher et fixait à un pied arrière de la chaise un gros, poids histoire d'alourdir encore le dispositif ...
Tout , alors est allé très vite  et mon coeur affolé s'est mis à battre encore plus vite !
C'est mon ex belle soeur , avec un sourire atroce  et les yeux rieurs  qui , tout en me fixant , en buvant ma détresse  annonça le cataclysme  à la cantonade  :
- " Luna nous a fait un rapport détaillé  sur le comportement de l'esclave  depuis qu'il est revenu ici , c'est à partir du contenu de ce rapport, qui ne lui est quand même pas complétement défavorable que nous avons décidé de donner suite , de lui laisser sa chance , bref  de le garder à notre service , même si je l'avoue , il a fallu vraiment  convaincre l'une d'entre nous ...mais ce rapport laisse entendre que son comportement a été sur de nombreux points fort décevant ... nous allons donc commencer par le punir et l'humilier comme il le mérite car il a besoin de bien comprendre qu'elle est sa condition , son état définitif , il doit réaliser que nous entendons pousser son asservissement encore plus loin que ce ne fut le cas lorsqu'il était encore mon beau-frère ... il faut frapper un grand coup c'est pourquoi ma nièce , Larissa et moi , sur proposition de Luna , avons décidé de le tondre totalement ... opération crâne rasé  ( elle rit ! et cela entraina d'autres rires  et  des exclamations )...
Moi j'ai poussé un cri de bête blessée qui m'a valu un puissant aller retour  de  Larissa ...
Je savais qu'il était vain d'essayer de parler , mais ne pas crier ma détresse était au dessus de mes forces .... Madeline , son propos achevé , venait de s'emparer  de la caméra et filmait déjà  tout en gros plan...
Charlise , dans un geste d'une folle sensualité ( mais que je fus incapable alors de gouter , je le revois cependant parfois sur écran et c'est ce qui me conduit à ce commentaire  ...) Charlise ôta sa petite culotte pour me l'enfourner dans la bouche et m'en faire un baillon . Quand celle que j'avais pris pour l'assitante de la tatoueuse  commença à faire courir  la tondeuse sur ma tête , le désepoir  me submergea , j'avais tant de grosses larmes  qui envahissaient mes yeux que je ne pouvais guère observer mon image dans la  haute glace qu'Odile était allé chercher pour la poser contre le mur , face à moi....
Criblé de honte , au comble de l'humiliation avec tous ces regards  ironiques et moqueurs sur moi , j'ai fermé les yeux ... ce qui n'avait plus d'importance  puisque le liquide surabondant de mes yeux ne me permettait plus de distinguer grand chose ... mais  Madeline , qui avait passé la caméra à Charlise , m'attrapa sous le menton pendant que la tonte se poursuivait et me souleva la tête en disant  : TU DOIS REGARDER  et te regarder  dans la glace , tu dois assumer ... derrière moi j'ai entendu  Odile et Boris rire  ils se tenaient par la taille , personne n'y trouva rien à redire ... dire que sans eux on ne m'aurait sans doute pas rasé le crâne !!!  C'était trop injuste ....
A la fin , tout le monde vint me toucher le crâne , tester à quel point il était lisse ... faire quelques plaisanteries à deux balles , quelques commentaires désespérants , quelques reflexions désobligeantes sur la taille de mes oreilles qu'évidemment plus rien ne pouvait dissimuler  ou sur la forme de mon crâne  au dessus de ma nuque  ... même les soumis y eurent droit  et quand  Boris et moi en la circonstance fûmes très près l'un de l'autre , c'est encore Odile qui ne put s'empêcher de ricaner en voyant nos deux sexes côte à côte , l'un très long   ( il l'est même au repos !   alors là ! comme il n'était pas rattaché au périnée  et que ce que je subissais l'excitait passablement !... on peut imaginer ) l'autre , le mien déjà pas très long , RATATINé PAR LA HONTE, LE CHAGRIN !!!
Cela déclencha une hilarité générale , Charlise s'approcha au plus près pour filmer , on me fit monter sur une chaise , tout le monde eut le droit de toucher et bien sûr , au prétexte de l'allonger Larissa , Madeline , et cette garce d'Odile tirèrent copieusement sur le petit bout de hampe appeuré et ridicule...
 On nous fit encore mettre flanc contre flanc , le russe et moi , pour capter les dernières images  " si drôles  ... c'est ce que répétait inlassablement Luna .
  Ensuite , il fut décidé que j'avais "bien mérité un peu de repos " , mais sur proposition de Madeline qui obtint immédiatement l'appui de Larissa ,  je fus  conduis dans la cage du sous sol  par un  Boris  bouffi d'orgueil et je séjournai plusieurs heures dans l'espace étriqué ,  pendant que là haut la Fête  battait  son plein ...