Finalement je ne vais pas trop m'appesantir sur cette fin d'après midi de jeudi au village ! Il y a tellement à dire sur l'évolution de notre Communauté et des rapports de force qui s'y développent , installent ... sur le MILKING qui a mis fin hier à 39 JOURS DE MASTURBATION INTERDITE . Dire " QUI A MIS FIN " est d'ailleurs erroné car du "liquide séminal " ( difficile d'appeler ça autrement ) s'est bien écoulé de mon méat , mais sans masturbation , sans plaisir même fugace !!! nouvelle horreur .... Il faudra quand même y revenir !!
Mais que dire de ma première incursion hors de la propriété ? Un terrible .. un atroce sentiment de honte qui m'a étreint , oppressé , étouffé sitôt le portail de la propriété franchi .. Il commençait juste à tomber quelques gouttes ( heureusement ?) ... et du coup Charlise m'a autorisé à enfiler un ciré ... ce n'est pas que je craignais de fondre , certes non ! mais si je dis heureusement c'est que le ciré ( d'un jaune à peine moins criard que le pantalon) avait un col montant et rigide qui dissimulait en grande partie le haut collier de chien qui eut été totalement indiscret sans cela ...j'ai même espéré garder la capuche sur mes cheveux massacrés en février et encore terriblement courts mais ça Odile et ma jeune Maîtresse ne l'ont pas permis : j'ai bien essayé de la mettre discrètement sur ma tête en arrivant sur la place du village ....où il y avait hélas pas mal de monde en cette fin d'après midi , heure de sortie des quelques PME de l'endroit , mais Odile qui veillait, visiblement " aux anges " et ne voulait rien m'épargner , l'a rapidement tiré en arrière ...
Dès que me suis cru " hors d'attention directe " c'est à dire pendant que Charlise discutait avec la fille de la pharmacienne qui a son âge ( je rappelle , même si elle n'y a pas vraiment vécu en permanence que mon ex belle-fille est connue ici depuis plus de 10 ans ) j'ai remis discrètement la capuche ... Je pensais bien que ma discrétion avait été parfaite ..; mais quand nous nous sommes remis à marcher vers le café -tabac, la fille de mon ex a tiré brutalement sur la capuche comme l'avait fait " Ody "( c'est un des petits nom de la Soumise ) et tête dénudée de nouveau , je me suis pris une gifle de la part de ma jeune Maîtresse :
- " Dis donc morveux ! ... c'est parce que c'est Odile qui te l'a enlevé que tu te permets de remettre aussitôt cette capuche ? et tu voudrais qu'on mette sa parole en doute quand elle dit que c'est toi qui lui obéit le moins ? ... tiens toi à carreau si tu veux pas que cette journée se termine en eau de boudin pour toi !! "
Odile qui ricanait doucement en regardant tout autour pour vérifier que la scène avait des témoins en rajouta évidemment une couche , comme pour remercier son amante de conforter son autorité ... et puis il s'agissait aussi de ne surtout pas risquer l'invisibilité... au cas où nous n'aurions pas été assez remarqué :
- " Tu vois Charlie ... on est trop bonne avec lui ! on a une course à faire et on se dit que prendre un peu l 'air et surtout voir du monde va lui faire plaisir et regarde comment on est remercié ! "
Heureusement on entra dans le café et les deux beautés se dirigèrent vers le guichet où l'on vendait les cigarettes afin de faire le plein pour les trois jours à venir ... Moi je prolongeais le long regard circulaire amorcé par la soumise - mais j'étais bien plus soucieux - quelques regards brillants accompagnés de sourires en biais, et même parfois de chuchotis, en particulier d'un jeune couple qui ne me quittait pas des yeux , me firent comprendre que la réprimande véhémente de ma Maîtresse n'était pas totalement passé inaperçue ... le prolongement des reproches par Odile sans doute pas davantage ...
Ensuite j'ai dû aller chercher moi-même le pain . Charlise ironisa sur " la fleur " qu'elle me faisait en me laissant y aller ... expliquant en ricanant que j'adorais aller cherher le pain parce que hiver comme été , la femme du boulanger qui avait une poitrine remarquable et le savait fort bien , arborait des décolletés tout sauf discrets !
La belle trentenaire mamelue quand elle me vit ne put retenir un rire plutôt sonore qui fit se retourner deux clientes en train de papoter dans l' attente de leur tour ... Charlise et Odile entrèrent aussi , évidemment , au vu de la tournure des évènements ...
- " Et bien dites donc Mam'selle Charlotte ( c'est comme ça que plusieurs personnes l'appelaient au village ) y d'vient moderne vot' beau-père hihihihi ! j'aurai pas cru ça d'lui sacrenon ! ... Maurice ! viens donc voir ! " Sa voix déjà forte prit quelques déibels de plus et Maurice apparut avec sa mère , ancienne propriétaire des lieux :
- " Oh bah ! vla aut' chose ... si mêm' les anciens s'y mettent !! OHOHOHH !"
Bref ! je n'en rajoute pas ... mais je vous assure que ça devenait très très difficile ! ... surtout qu'il se passa à peu près la même chose à la maison de la presse où il fallut aller chercher des timbres fiscaux , vu qu'à cette heure la poste était fermée pour des timbres dont j'allais découvrir plus tard la raison d'être ...
De plus , dans la rue , il y avait maintenant quelques ados rameutés par la fille ainée des boulangers ( qui s'habillait à peu près de manière aussi voyante et sexy que sa Mère ...avec les mêmes arguments )... Le retour vers l 'Alfa Romeo prit des allures de calvaire ... et je crevais de trouille qu'à la dernière seconde , pleine de malice , l'une ou l'autre propose un nouvel arrêt ... la halte à la maison de la presse avait été terriblement longue ... les deux Femmes prenant un malin plaisir à feuilleter des revues " people " ou "féminine " et à commenter certains sujets ... alors que dans les étroites allées du petit commerce une densité de population " suspecte" , par rapport à la "moyenne saisonnière" se faisait bien remarquer ... Quand Charlise prit place au volant avec son amie à ses côtés pendant que je me recroquevillais à l'arrière sur le siège le plus étroit il y eut encore sur le parking de la place un reliquat d'agitation ... Il était vraiment temps qu'on redémarre ... La villa n'était pas a plus de mille cinq cents mètres du centre de la petite bourgade mais je n'ai pu m'empêcher d'éclater en sanglots avant d'arriver ...
Ne s'y attendaient elles pas ? elles se retournèrent vers moi , puis se regardèrent , incrédules et éclatèrent de rire en se tapant dans les mains , paumes ouvertes façon " djeunes "... cela ne fit qu'aggraver ma honte et renforcer mes pleurs ...
Cette journée de Jeudi était particulièrement éprouvante ... c'était certain ... mais je n'étais pas au bout de mes peines !!
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